1.         Faudrait-il prendre en compte dans le cadre du projet de la CDO d’autres personnes, groupes et institutions qui sont concernés?  
2.         La CDO devrait-elle avoir connaissance d’autres débats récents ou d’autres cadres législatifs?
3.         Quels droits et quels principes juridiques sont importants pour établir des normes professionnelles et orienter les soins prodigués durant les derniers moments de la vie?
4.         Quels droits et quels principes juridiques sont importants pour établir des normes professionnelles et orienter les soins prodigués durant les derniers moments de la vie?
5.         La législation relative notamment aux soins de santé, au logement, à l’emploi, et aux professions touche les derniers moments de la vie – existe-t-il des failles qui gagneraient à être cernées?
6.         Comment percevez-vous la relation entre droit et normes professionnelles en matière de soins?
7.         Qu’avez-vous pu constater vis-à-vis d’un groupe ayant des besoins pendant les derniers moments de la vie, soit que vous apparteniez à ce groupe, soit que vous le souteniez?  
8.         Quelles réformes législatives sont nécessaires selon vous pour les groupes ayant des besoins non satisfaits? Quelle serait la façon la plus efficace de les mettre en application?
9.         Y a-t-il des groupes ayant des besoins non satisfaits dont le présent document ne fait pas état, et que la CDO devrait prendre en compte?
10.     Comment peut-on mieux soutenir les institutions, les spécialistes et la population pour l’obtention de consentements en matière de soins de santé qui soient utiles et respectueux de la loi?
11.     Comment des outils professionnels peuvent-ils permettre d’atteindre l’objectif de dispenser des renseignements exacts, cohérents et utiles sur le consentement et la planification préalable des soins?
12.     Il existe des lois, des principes et des orientations connexes relativement à la prise de décision pour les traitements visant à maintenir en vie – RCP, non-réanimation, nutrition notamment. Quels sont les atouts, les faiblesses et les failles du cadre juridique ontarien en vigueur vis-à-vis de ce pouvoir décisionnel?
13.     Qui devrait être habilité à décider si ces traitements et ceux qui sont vitaux (RCP, non-réanimation par exemple) sont proposés ou retirés – la personne concernée (ou son mandataire spécial) ou les prestataires de soins? Dans quels cas?
14.     Est-ce que l’Ontario devrait réglementer le fait de proposer de la nourriture et de l’eau aux personnes en fin de vie, notamment le pouvoir du mandataire spécial de consentir au refus de prodiguer les choses nécessaires à l’existence?    
15.     Est-ce que l’Ontario devrait réglementer la clarté, l’uniformité et la sécurité des thérapies de sédation palliative, en tenant compte des enjeux éthiques, de l’aide médicale à mourir et la nécessité de disposer de garanties comme le consentement éclairé?
16.     Quelles options sont à privilégier pour mieux planifier et gérer les décès prévus au domicile? Serait-il utile qu’il existe une stratégie provinciale ou une réglementation officielle?
17.     Comment les stratégies visant les besoins des prestataires de soins de santé peuvent-elles aider à gérer le stress psychologique et moral? Comment les praticiens peuvent-ils être mieux préparés à gérer les différends?
18.     Les juristes ont-ils besoin de formation et d’orientation spécifiques pour les questions relatives à la fin de vie? Quels seraient les formats à préférer?
19.     Quelles sont les façons les plus adaptées pour traiter les obstacles, les mesures d’accommodement et de soutien en vue d’intégrer des pratiques confessionnelles, culturelles et spirituelles aux soins de fin de vie?
20. En tant que patient en fin de vie, ou en tant qu’aidant naturel, comment se passent les changements d’établissement pendant ces derniers moments?
21. Faut-il des mesures de réforme du droit pour améliorer l’accès, les mesures de soutien pour s’orienter et la coordination des soins dans le système de la santé?
22. Quelles stratégies, procédures ou institutions sont les mieux adaptées au règlement des différends survenant en fin de vie?
23. Comment peut-on renforcer la pertinence, la rapidité et l’efficacité de l’information ou de la vulgarisation juridiques fournies pendant les derniers moments de la vie?