Après avoir passé la moitié de sa carrière à pratiquer le droit et l’autre à explorer et à écrire à propos du droit, Jasminka Kalajdzic comprend l’importance des points de vue diversifiés. L’ancienne avocate plaidante, maintenant professeure de droit à l’Université de Windsor, partage ses opinions à titre de membre du groupe consultatif pour le projet sur les recours collectifs de la Commission.

« Les praticiens du droit peuvent apporter une importante contribution au débat, car ils voient de quelle façon s’appliquent les lois sur le terrain », avance Mme Kalajdzic en parlant du groupe formé de 15 personnes, qui comprend également des avocats de la poursuite et de la défense, des représentants d’une importante firme de services juridiques professionnels, du gouvernement, de la magistrature et du Fonds d’aide aux recours collectifs, ainsi que d’autres universitaires. « J’examine les questions liées aux politiques que pose notre régime de recours collectif et j’observe ce qui se passe dans d’autres compétences », poursuit-elle.

Selon Patricia Hughes, la directrice exécutive de la CDO, les groupes consultatifs jouent un rôle prépondérant dans la plupart des projets de la CDO. « Les bénévoles nous fournissent une expertise sur laquelle nous nous appuyons pour formuler nos recommandations », explique Mme Hughes.

 

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