La CDO obtient un engagement de cinq ans de ses bailleurs de fonds

Grâce à l’appui manifeste de ses bailleurs de fonds, la Commission du droit de l’Ontario a obtenu les engagements et le financement nécessaires à la poursuite d’un second mandat de cinq ans commençant en janvier 2012. La Fondation du droit de l’Ontario, le ministère du Procureur général et la faculté de droit Osgoode Hall ont promis une augmentation du soutien financier à la CDO jusqu’en 2017, en réponse aux activités foisonnantes et à l’influence de la CDO au cours de ses cinq premières années. (Au moment de publier, nous attendons toujours une décision formelle du Barreau du Haut-Canada concernant le financement.)

« Les administrateurs de la Fondation du droit de l’Ontario ont été enchantés d’appuyer l’important travail de la CDO », indique Mark Sandler, président du conseil d’administration de la Fondation. « Nous sommes enthousiastes à l’idée de poursuivre dans cette voie. »

Depuis son lancement en 2006, la CDO a entrepris huit projets sur les besoins des Ontariens en matière de droit, y compris le rapport de 2009 intitulé Partage des régimes de retraite en cas d’échec du mariage, qui a eu une influence sur les lois régissant la façon dont les régimes de retraite sont divisés lorsque des couples se séparent ou divorcent. Le Cadre provisoire pour une démarche anti-âgisme dans le domaine du droit touchant les personnes âgées est déjà présenté à l’échelle nationale et internationale. En outre, la CDO a organisé un grand nombre d’activités, symposiums et ateliers, parfois en partenariat avec des facultés de droit ou des organisations juridiques communautaires.

« Nous avons acquis une expertise dans les domaines d’application de nos projets et établi d’excellentes relations avec de nombreux professionnels et des représentants du gouvernement et de la communauté, et nous prévoyons poursuivre dans la même veine », soutient Patricia Hughes, directrice exécutive de la CDO.

« La Commission a obtenu des succès remarquables avec l’appui de ses bailleurs de fonds, des organisations communautaires et de son personnel dévoué », ajoute Larry Banack, président du Conseil des gouverneurs. Les études à venir aborderont certains des enjeux les plus pressants auxquels font face les Ontariens. »

 

 

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